Article de La Voix du Nord.
Christian Vanneste était lui franchement contre le texte jusqu’à vendredi. Le président l’a appelé deux fois pour vaincre ses dernières réticences.
Des pressions, des menaces ? « Pas du tout. Cela a été plutôt de l’ordre de l’écoute et c’est ce que j’ai apprécié. » L’élu tourquennois n’est pas devenu subitement un fan de la réforme : « C’est une solution mi-chèvre mi-chou qui ne satisfait personne et me déçoit. » Mais pas au point de faire le jeu de l’opposition. « Entre la raison intellectuelle et la raison politique, la raison politique doit l’emporter. »