Ce matin, je me suis rendu au Ministère du Budget afin de rencontrer le cabinet d’Eric WOERTH au sujet du bureau des Douanes de RONCQ, pour le maintien duquel je continue à me battre. Je rappelle que le 30 janvier 2007, le Ministre avait affirmé qu’aucune fermeture n’était envisagée.
Les professionnels qui m’accompagnaient ont insisté sur les risques qu’entraînerait une telle fermeture, notamment pour les 450 emplois directs concernés et pour l’activité économique du secteur.
La porte reste ouverte aux négociations. Je rencontrerai prochainement le nouveau directeur régional des Douanes.
Bien évidemment, je démens catégoriquement les propos qui me sont prêtés dans le journal Nord Eclair du 2 mai dernier concernant un « dégraissage de la fonction publique inévitable ». Je n’ai jamais tenu de tels propos, et au contraire, je me bats pour maintenir le bureau de douanes du CIT de RONCQ, comme en attestent mes nombreuses interventions et courriers envoyés au ministre concerné et au Premier Ministre à ce sujet. Le combat pour le maintien de l’emploi dans la Vallée de la Lys comporte aussi le maintien des emplois publics, notamment lorsque ceux-ci sont déterminants pour l’économie.
3 commentaires
A M. Vanneste,
Merci pour votre grand courage (cela fait du bien, si vous saviez !) si rare en politique ! En tout cas, vous allez avoir un argument de plus à donner à M. WOERTH, pour qu’il tienne parole.
Saviez vous que tandis qu’on enregistre 3.500 demandeurs d’emploi supplémentaires chaque jour et que ménages, Etat et collectivités publiques doivent se serrer la ceinture (surtout les ménages en l’occurence), le Bureau du Parlement européen, la Commission des budgets et l’assemblée plénière du PE ont donné leur feu vert à la rénovation et l’extension du club de sport situé dans les locaux de l’institution à Bruxelles ? Un ensemble piscine-Spa à plusieurs millions d’euros pour les députés et le personnel de la maison. Plus exactement 9,3 millions d’euros. Le gestionnaire, une société néerlandaise, est déjà sélectionné par appel d’offres. Le 18 février dernier, le bureau du Parlement a décidé d’attendre un peu pour signer son contrat…après les élections…
Bien entendu, tous les medias font silence sur ce énième scandale de dilapidation monstrueuse des fonds publics «européens », c’est-à-dire payés entre autres par le contribuable français. Argent qui part par la fenêtre, et qui serait bien plus utile…Notamment pour conserver ce bureau de douanes, la Poste, ou autre.
Remarquons au passage à quel point la thématique de « la France en faillite » a soudainement disparu de la circulation. on a beau chercher, notamment dans tous les mouvements style «contribuables associés », « Liberté chérie », MODEM plus personne n’en parle !!!
Depuis que les banques sont au bord de la faillite et que la crise géante provoquée par la faillite des Etats-Unis d’Amérique (faillite qui devrait éclater en plein jour d’ici à l’été) ont obligé les pouvoirs publics de France et de tous les pays occidentaux à creuser leurs déficits tous azimuts, les medias ont semble t il été priés de la boucler sur le bobard de la France en faillite.
Car « la France est en faillite » lorsqu’il s’agit de liquider les services publics, les bureaux de poste en campagne, les hôpitaux, les écoles et les prestations sociales. Et…Les bureaux de douane, ou encore nos casernes de pompiers, ou pour virer des soldats, des enseignants, ou des policiers.
Mais « la France n’est plus en faillite » lorsqu’il s’agit de dépenser des centaines de milliards d’euros pour renflouer un système financier en perdition.
Sincèrement, pourrait on cesser ce petit jeu ? M’énerve ! Qu’on ne claque pas d’argent pour les menus plaisirs du PE…Et qu’on sauve nos bureaux de douane et autres à la place !
J’apprends par ailleurs que l’Association Santé Environnement France (Asef), association regroupant environ 900 médecins français, vient de dénoncer les nouvelles normes européennes en matière de pesticides dans les aliments, refusant ces “plafonds toxiques qui peuvent compromettre la santé humaine. Les décisions européennes concernant l’harmonisation des taux de pesticides semblent issues de la politique du nivellement par le bas. Nous, médecins de terrain, refusons ces plafonds toxiques qui peuvent compromettre la santé humaine”.Les médecins rappellent que les pesticides, “outre la toxicité aiguë pouvant conduire à des décès, ont des effets chroniques avérés” comme des anomalies congénitales ou des troubles du système immunitaire.
Le nouveau règlement décidé par la Commission européenne, qui est entré en vigueur le 1er septembre, fixe des plafonds européens autorisés pour la présence de résidus de pesticides dans les aliments, harmonisant des normes jusqu’ici fixées au niveau national. Mais, selon plusieurs organisations dont Greenpeace et le réseau Pesticide Action Network, ce règlement a en réalité pour effet d’entraîner une augmentation spectaculaire des limites existantes et ne prend pas en compte les effets cumulatifs d’ingestion de ces substances.
Ce nouveau règlement européen a pour effet d’autoriser une hausse des pesticides autorisés dans l’alimentation des Français. Et cela bien sur avec l’approbation de M. BARNIER, qui j’en suis sur, lui, ne mange que du bio. (Comme les Commissaires européens, qui en revanche, n’ont aucun scrupule à empoisonner les européens !)
Monsieur M. Vanneste, pourriez vous (éventuellement) déposer une proposition de loi, pour “faire le ménage” (pour reprendre l’expression utilisée par M. BROWN) afin de montrer que les élus Français ne sont pas moins attentifs aux attentes “d’exemplarité” que les élus Anglais ?
Il a fallu un scandale en Angleterre pour que l’on se décide, là bas, à quelques efforts. En France, même chose : il faut toujours un nouveau scandale pour que la classe politique, et particulièrement le parti au pouvoir, réagisse. Ne pourrait on pas “anticiper” pour changer ?
Absentéisme, rémunération importante, privilèges, vous connaissez bien, je suppose, les critiques que l’on peut faire sur les élus. Et ces critiques sont parfois, ou pas, fondées.
N’est il pas temps, pour reprendre le bon mot de M. SARKOZY, de faire la “rupture” dans ces pratiques passéistes et secrètes…Et aller de l’avant, vers plus de transparence, et d’exemplarité, ne serait ce que parce que la crise économique, financière, et sociale…Exige que les élus ne donnent pas l’impression de se goinfrer, ou de se scandaliser hypocritement (sur les “vilains patrons”)….Pendant que le bon Peuple se sacrifie, et passe son temps à payer ?
Un exemple venue de France serait un signal clair, et redonnerait “confiance” en l’actuelle majorité, dans le Gouvernement, et surtout permettrait d’effacer l’erreur commise par M. SARKOZY, s’octroyant un “salaire” supérieur de 173% ! A celui de M. CHIRAC. (Et comme le démontre M. DOSIERE, sans renoncer à “l’aide” des Ministères, pour financer les dépenses élyséennes)
C’est de toute évidence très difficile à comprendre pour la classe politique mais un élu, un ministre, plus que tout autre se doit d’être irréprochable, qu’il soit de droite ou de gauche ou du centre, ou de nulle part. Comment voulez-vous exiger des citoyens qu’ils se plient de bonne grâce aux exigences budgétaires quand les donneurs de leçons qui nous gouvernent sont absolument inconséquents ?
Pourquoi ne pas instaurer le même système de “transparence” qu’en Suède ? Ils y sont arrivés dès 1746…Et nous en serions incapables…En 2009 ? Nous avons même su le faire, auparavant, puisqu’en 1792, un député du Rhône indique l’intégralité de ses dépenses ! En respect…De la Déclaration de 1789 !
Pourquoi ne pas proposer, tout d’abord, une séparation nette entre “dépense publique” et “dépense privée” ?
Je comprends parfaitement que le Ministère de l’économie ait un gros budget “communication”. Mais ce budget, à quoi sert il ? A “communiquer” sur telle ou telle mesure législative….Ou à faire la promo du Ministre ?
Je peux comprendre le budget “sondage” du Ministère de la Justice, s’il s’agit de voir comment une “réforme” peut être perçue par le personnel géré par Mme DATI. En revanche, qui me dit que lesdits sondages ne concernaient pas, la popularité de la liste BARNIER DATI en Ile de France pour les européennes ?
Je peux comprendre que M. SARKOZY fasse faire des travaux à l’Elysée pour remettre en état un mobilier désuet. Mais qui me dit que le budget alloué aux “travaux” n’a pas servi, plutôt, à faire une coiffeuse pour Mme BRUNI ? Je comprends que la République finance les voyages à l’étranger de M. SARKOZY, lorsqu’il doit rencontrer untel ou truc…En revanche, les communications personnelles de M. SARKOZY ne devraient elles pas être payées par lui, via son salaire ?
Comme acteur central, il est vraisemblable que “l’Etat” reçoit des “factures”, des “lignes de crédit”, ou encore des “reçus” pour matérialiser ses dépenses. Ne pourrait on pas “contraindre” les élus, les Ministres, à rendre disponible aux citoyens, sur Internet, le relevé de l’intégralité de leurs dépenses ?
En Suède, le relevé de dépenses par carte bleue de chaque Ministre est consultable en ligne par tout citoyen. Comme çà, on peut faire la part des choses entre “le Ministère” et “le Ministre”. Et les citoyens ont beaucoup plus confiance dans leurs élus, et Ministres.
Aux USA, une simple demande, et on obtient le plan de vol d’un Ministre, sa destination, le coût de celle ci…Et même une photocopie du billet d’avion ! A quand une telle chose en France ? Aurait on des choses à cacher, dans la République des secrets ?
Je peux comprendre que les Ministres “voyagent”. En revanche, pourquoi n’y a t il aucune obligation d’utiliser le train lorsque ces déplacements se font EN FRANCE !? La France n’est pas aussi grande que les USA ! Et l’avion, au contraire du train, n’est pas gratuit pour les élus et Ministres !
D’un côté, la pauvreté de certaines juridictions françaises. Des tribunaux qui ferment ; des armoires cassées qu’il faut des mois pour remplacer ; des postes non pourvus… Tout cela, faute de moyens. En face, ou plutôt en haut, une ministre de la Justice qui mène grand train, se plaisant à poser à la Une [2] des magazines, à enchaîner les voyages à l’étranger (Chine, Maroc, Royaume-Uni…) ou à multiplier les réceptions fastueuses au ministère. Et ce manque de “cohérence” est présent partout. Moins de dépenses publiques pour le “bon Peuple” qui perd “sa” Poste, “son” bureau de douane, “sa” caserne, etc…Et “en haut” des Ministres et élus qui jouent avec l’argent public, comme sous l’Ancien Régime Marie Antoinette et la famille royale s’amusaient à perdre de l’argent au jeu…Alors que le Royaume de France souffrait de famine, de maladie, et de pauvreté.
Est il normal que Mme DATI – qui a un salaire plus que correct – fasse payer par le contribuable des dépenses privées ? Et pas qu’elle d’ailleurs ?
Certaines dépenses de la Ministre relèvent d’achats purement personnels : maquillage, collants… Certains membres de Gouvernement sont tombés pour moins que ça sous d’autres latitudes. En Suède, par exemple. Pourquoi tant de laxisme, dans notre belle France ?
A quand l’adoption d’un tel texte en France ? Sincèrement, je suis certain que le Parlement pourrait ainsi “briller” auprès des citoyens, et retrouverait un peu de confiance en lui.
http://www.tbs-sct.gc.ca/pubs_pol/hrpubs/mg-ldm/gfmo-fra.pdf
Pourquoi pas une telle loi…EN FRANCE ? Faut il croire que tous les parlementaires chérissent la politique du secret, laquelle permet à une minorité de desservir la France, et de nourrir ce que M. ACCOYER appelle “l’antiparlementarisme”? Et M. WOERTH “un procès d’intention envers le Gouvernement” (sic !) Sans parler du rabaissement du Parlement (et oui, il n’y a pas que M. SARKOZY qui doit (en principe) veiller à être digne de sa fonction.
http://www.e-laws.gov.on.ca/html/source/explanatorynotes/french/2002/elaws_src_ex_exs02034_f.htm
Et un tel code éthnique pour la FP ? Elus compris ?
http://www.tbs-sct.gc.ca/pubs_pol/hrpubs/tb_851/vec-cve-fra.asp
Pourquoi ne pas proposer :
-une “Freedom of information act” ? Tous les ministères et les agences fédérales ou locales des Etats-Unis ont un service dédié aux demandes de déclassification de documents. Pourquoi pas la France ? Nos voisins en ont une…Et cela leur réussi. Pourquoi pas en France ?
La loi, qui permet de demander à quelque 100 000 structures publiques (gouvernement, autorités locales, BBC, agences) la communication d’une information, pose des limites. La sécurité nationale et les rapports transmis par les services secrets, les dossiers qui portent sur les relations diplomatiques avec d’autres pays, les questions relatives à une enquête pénale en cours comptent parmi les motifs permettant de refuser l’accès à l’information. Pourquoi ne pas “copier” une si belle et utile loi ?
-En Suède, une loi datant de 1776 impose la totale transparence des services publics. Chaque citoyen peut demander les notes de frais d’un ministre. Inutile de donner son nom ou la raison de sa demande, elle demeure anonyme. La loi oblige une réponse sous vingt quatre heures. Si l’on se déplace directement au Ministère, en dix minutes on peut obtenir gratuitement la copie de la fiche de paie d’un ministre ainsi que ses dépenses pour un cocktail. En France, si les fonctionnaires divulguent des documents secrets, ils risquent de lourdes sanctions. Tout semble fait pour protéger les élus et Ministres peut scrupuleux, alors que la transparence mettrait en valeur les Ministres et élus exemplaires.
-Le 15 juin 2005, le Parlement de la plus grande démocratie du monde (L’Inde) a voté le « Right to Information Act ». Cette commission « a le devoir de recevoir les demandes de n’importe qui ». Les fonctionnaires, les Public Information Officers, doivent répondre dans un délai de 30 jours. En cas de dépassement de ce délai non justifié « par une cause sérieuse », ou si la commission constate que l’information est erronée, le fonctionnaire risque une amende de 250 roupies par jour jusqu’à délivrance du document. Preuve que l’excuse du nombre de citoyens en France ne vaut pas. Pourquoi cette “tiedeur” en France ? Chaque citoyen indien a « le droit de savoir », et peut consulter les travaux, documents et archives émanant de l’administration, en prendre des notes ou s’en faire délivrer des extraits certifiés. La loi précise que le terme « information » signifie «n’importe quel matériau sous quelque forme que ce soit, comme les archives, documents, mémos, e-mails, prises de position, conseils, communiqués de presse, circulaires, ordres, contrats, rapports, données conservées sous n’importe quelle forme et information en relation avec n’importe quel corps privé pouvant être accessible par une autorité publique ».
La France est l’un des rares pays à empêcher ses citoyens d’être informés, et de contrôler; par eux mêmes, l’utilisation des deniers publics…Quand bien même cette obligation est écrite dans la Déclaration de 1789.
Un Etat plus moderne plus transparent, plus accessible au citoyen. Voilà ce que semblait afficher Nicolas Sarkozy.
Qu’a t on eu ? Des effets d’annonce, et une interdiction plus large ! En effet, alors que la mission d’experts Lepage proposait un alignement du droit français sur celui des autres grandes démocraties occidentales, les parlementaires de l’UMP ont rendu de plus en plus difficile l’accès aux archives !
En Suède, la loi de transparence permet aux citoyens de contrôler les décisions du Gouvernement. On peut obtenir en une journée l’itinéraire précis du transport des matières nucléaires dans le pays ou encore la carte des champs où sont plantées des semences OGM. Chez nous, en France, ces informations sont classées secret défense !
En 2008, la majorité a appuyé le projet de loi qui justifiait l’allongement du délai d’ouverture des archives publiques. Ainsi un carton contenant un seul document rendant public une « appréciation ou un jugement de valeur » ne pourra être consultable qu’à l’expiration d’un délai de soixante-quinze ans (art. L 213-2-I-4°)
Renouant ainsi avec la culture du secret – le mot est employé quatorze fois dans le texte – ce projet de loi, qui fut adopté, va à l’encontre des recommandations du Conseil de l’Europe et des pratiques et législations en vigueur dans les grandes démocraties occidentales. Mais ce n’est pas grave n’est ce pas ? Tant pis si la France est encore en retard d’une guerre ! Et on dit que c’est le VATICAN qui refuse la consultation de ses archives ! Que penser de “l’Etat” !
Je comprends que la période “1940-1945” puisse “bénéficier” d’un “secret défense” pour éviter que l’on rouvre des plaies liées à cette terrible période. Pour le reste…Autant de “secrets” sinon de cadavres dans les placards – si M. MITTERRAND a fait flinguer quelques individus, la Nation ne doit elle pas être au courant ? – ne doivent pas autoriser un tel déni d’information à l’égard des citoyens.
“Le maintien du secret pendant une trop longue période, loin de protéger l’action de l’Etat, paraît plutôt de nature à favoriser les fantasmes de toutes sortes sur l’histoire récente et les théories du complot.” (Commission des lois, en 2008)
On peut tout aussi bien dire “Le maintien du secret pendant une trop longue période, loin de protéger les élus et les Ministres, paraît plutôt de nature à favoriser les fantasmes de toutes sortes sur les privilèges, rémunérations, etc. des élus et Ministres, et rabaissent les Institutions”.
Le culte du secret n’a pas beaucoup servi à l’Ancien Régime. Pourquoi serait ce différent, sous la République ?
Ne vaut il pas mieux “jouer le jeu” et montrer que les élus et Ministres sont irréprochables (et virer ceux qui ne le sont pas, ou priver d’investiture les élus escrocs) plutôt que de passer son temps à couvrir les malhonnêtes au détriment de la majorité des élus et Ministres ?
Autres points possibles à mettre en oeuvre :
-Si la baisse des salaires n’est pas envisageable à cause de l’augmentation de la corruption qui serait engendrée, un “gel” de ces derniers seraient bien vus (jusqu’à la “reprise”)
-Il serait bon aussi de mettre un terme au vol de notre mobilier national, qui semble bien peu concerner les élus ! Pourquoi ne pas obligatoirement faire signer le Ministre qui veut tel ou tel meuble pour son Ministère. Et en cas de vol…Il est responsable. Et si on ne retrouve pas le meuble, il rembourse. J’ai l’impression que soudain, les Ministres vont être plus diligents que par le passé, s’ils ont à y perdre.
-Clarté aussi dans le rôle des chauffeurs des Ministres et élus : est il normal que l’on paie un chauffeur pour accompagner Madame ou Monsieur le Ministre, ou un élu (national, local), chez le coiffeur, en salle de sport etc…;que le chauffeur le wek end conduise les enfants de ces Messieurs ou Mesdames faire du cheval en normandie ou autre ? Désolé, mais non ! Le chauffeur ne devrait pas servir à tout cela. Il devait simplement accompagner Madame ou Monsieur le Ministre, sénateur ou député sur leur lieux de travail. Je pense qu’il y aurait pas mal d’économie et celà pourrait payer soit nos retraites, nos pensions d’invalidité, les handicapés, ainsi que l’aide pour certaines personnes qui ont du mal à sens sortir.
-Qu’il y ait une certaine “solennité” et un certain “faste” admettons…Mais est il utile que nos Ministres (et élus) aient un train de vie royal ? Non.
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Bon. Et si Maitre Eolas devenait Ministre de la Justice ? Je suis sur qu’il ferait un excellent travail. Pourquoi, pour une fois, ne pas prendre un Ministre compétent et pas seulement un “communicant” comme Mme DATI ?
http://maitre-eolas.fr/
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