PARIS (AFP) — Des députés UMP viennent de créer, à l’initiative de Lionnel Luca, un “collectif des parlementaires pour la liberté d’expression”, face à une “censure” qui s’exerce “de plus en plus, de manière directe ou indirecte” et “au-delà de ce que pourrait prescrire la loi”.
“La répétition des polémiques avec des enseignants, des journalistes, des magistrats, des élus, voire même des préfets, qui sont empêchés de parler, menacés, traduits devant des tribunaux, pose problème dans une démocratie qui, par ailleurs, se veut exemplaire en matière de droits de l’Homme”, argue vendredi dans un communiqué Françoise Hostalier (Nord), membre de ce collectif.
Selon Mme Hostalier et M. Luca, 28 députés UMP de sensibilités très diverses au sein du parti majoritaire ont déjà rejoint le collectif, parmi lesquels Christian Vanneste, l’ancien maire de Paris Jean Tiberi, Bernard Debré ou encore le vice-président de l’Assemblée, Marc Le Fur.
“Il appartient aux députés” de garantir la liberté d’expression inscrite à l’article 11 de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen, rappelle le collectif. “Or il semble que de plus en plus, de manière directe ou indirecte, la censure s’exerce au-delà de ce que pourrait prescrire la loi”.
M. Luca a déclaré à l’AFP que le collectif entend notamment dénoncer “le pouvoir des juges et des associations”, citant par exemple le “procès d’intention” récemment fait au journaliste Eric Zemmour, poursuivi en justice par certaines associations pour ses propos sur l’origine ethnique des délinquants.
“C’est une preuve de faiblesse, le tribunal. Et quand on fait taire, ça s’appelle la dictature”, fait valoir le député des Alpes-Maritimes.
23 commentaires
Bonjour Monsieur Vanneste,
Je trouve votre démarche tout à fait louable, vous nous aviez d’ailleurs prouvé votre courage politique lors de l’affaire des supposés propos homophobes.
Or, si le fait de “faire taire” relève de la dictature, la nuance se situe dans la manière de “faire taire”.
Aussi ne croyez vous pas que votre proposition visant à supprimer les triangulaires lors des futures élections territoriales s’apparente à un acte de dictature…déguisée ?
Dont le but inavoué est de couper l’herbe sous le pied au FN responsable de la victoire de la gauche dans bon nombre de régions ?
J’aimerai bien vous lire sur ce sujet.
Un fan sceptique
La liberté d’expression consiste à ne pas pénaliser le fait de dire des conneries.
Elle est de moins en moins respectée en France et pourtant la classe parlante dit de plus en plus de conneries.
Il convient donc de rétablir la liberté d’expression pas seulement pour la simple restauration d’une société de liberté mais aussi pour le droit de répondre aux cons.
@ Philippe : Le mode de scrutin des élections présidentielles conduit donc, d’après vous, à un régime dictatorial ?
Faut-il, à l’inverse, TOUT pouvoir dire? si oui, seule la démocratie américaine le permet, et tout le monde peut s’exprimer et cracher son fiel sur des communautés… est-ce bien prudent en France?
Je pense que cette liberté d’expression ne doit en aucuns cas permettre l’incitation à la haine.
Des gens comme Zemmour (frustré il faut bien le reconnaître quand il se plaint d’avoir été battu au concours de l’ENA par des femmes) provoquent méchamment, que dirait-il si un autre extrémiste lui répondait à propos des noirs et des arabes sur-représentés d’après lui dans la délinquance, que les juifs le sont à la télé par ex ? ce n’est pas moi qui le dit car je me fiche de connaître le “pédigrée” des citoyens de la République mais à ce jeu dangereux, vous voyez où l’on peut dériver si des gardes-fous ne sont pas mis?
Et oui Mr Vanneste, Philippe a raison, nous rentrons petit a petit dans une ditacture, sinon comment expliquer le traité de Lisbonne rejeté par 55% de votant auquel les députés se sont assis deçu!!!
c’est bien un coup d’état!!! 28 députés pour la liberté d’expression, cela ne fait pas beaucoup de démocrates, bravo car même!!!!
Une avocate et la liberté d’expression!!!!
http://www.dailymotion.com/video/xd64ox_justice-pour-jonathan_news
Liberté d’expression n’est pas liberté d’insulter, de dénigrer, trainer dans la boue, inférioriser des catégories de population pour mieux les monter les unes contre les autres.
@M.Moore
Décidement les gôchos sont partout!!!!
@ Lucia,
J’en déduis par ce ton agressif que les “gauchos” ne sont pas les bienvenus ici MAIS Monsieur Vanneste, malgré tout ce qui nous sépare, ne chasse personne à priori et donc on ne sent pas rejetés.
Et pourquoi allez prêcher les convaincus? rien ne vous empêche aussi d’aller titiller les blogs de “gôche” 🙂
Ensuite, j’en déduis que vous souhaitez une liberté d’expression qui permette à tout un chacun de déverser son fiel et son sentiment de supériorité par rapport à tous ceux qu’il n’aime pas? alors réclamez une liberté à l’américaine et vous constaterez rapidement à quelle point elle encourage les communautarismes les plus virulents.
@M.Moore
le communautarismes existe déjà, d’ailleurs il a fallu que je prennent mes valises et quitter Marseille, il est l’heure de se réveiller!!!
Je vois ce que vous voulez dire hélas quant à ce communautarisme mâtiné de revanche post-colonialiste et d’expansionnisme religieux.
C’est le seul qui nous perdra et des gens de gauche comme moi qui plus est femme, avons tout à perdre!
Alors réclamons une liberté d’expression totale comme aux USA mais sans incitation/appels à la haine, au lynchage, etc et sans insultes.
@Christian Vanneste
Ma notion de dictature n’a pas de connotation casquée et bottée.
Je pense sincèrement qu’il existe une confiscation du pouvoir démocratique par une élite. Cette dernière se partage un gateau électoral qui est aujourd’hui menacé par un FN qui a le malheur de viser juste en posant les bonnes questions.
La diabolisation n’ayant pas fonctionné, nos élites vont tenter une autre approche en modifiant le mode de scrutin.
Il n’y a pas que le FN qui sera pénalisé, cette pratique que je qualifie de totalitaire, vise à bipolariser le paysage politique français.
Cette situation va engendrer un désamour des citoyens pour la vie politique laissant le champ libre à toutes les dérives.
J’estime en tous cas que nous vivons déjà dans une dictature douce ou la manipulation et l’autocensure (des médias) deviennent la règle.
J’ai toujours été un partisan acharné du scrutin majoritaire (uninominal) à deux tours qui me semble être le suffrage le plus simple pour les électeurs (qui connaissent les candidats, ceux-ci n’étant pas élus sur une liste) et le plus démocratique. Le bipartisme (plus ou moins pondéré: absolu ou élargi) existe dans toutes les démocraties modernes : Etats-Unis, Grande-Bretagne, Allemagne…
Par ailleurs, on peut tout à fait imaginer un premier tour avec un FN ou un Parti de Gauche arrivant en tête et faisant éliminer l’UMP ou le PS…
@Mr Vanneste, Il n’y a que les aveugles et les sourds qui ne verraient pas de manigance, remarquez après avoir signé un pacte avec la chine, on comprend le reste, une chose est sûr c’est que votre poulain nous a bien eu!!!
réveillez vous Mr Vanneste la France est en déclin!
Vous méritez le prix Nobel de médecine : vous prouvez que le ridicule ne tue pas!
Votre immonde proposition de loi sur un apartheid électoral est ce qu’on a vu de pire depuis Jaruzelski. Vous auriez du ajouter que celà renforcerait la démocratie, qui du coup deviendra vraiment populaire.
Pourquoi ne pas militer pour l’instauration de la proportionnelle à TOUTES les élections, présidentielles exceptées ?
La démocratie en sortirait grandi. Malheureusement cette option semble trop dangereuse pour nos stratèges politiques qui ont tellement peur de l’opinion du peuple qu’ils lui ont confisqué le dernier semblant de tribune qui lui restait, à savoir le référendum.
Lucia a raison, le fait que l’UMP ait consulté le parti communiste chinois est proprement inadmissible.
C’est en partie pour cette raison que personnellement je n’ai pas repris ma carte UMP cette année, comme probablement beaucoup d’autres !
Bonjour Monsieur le Député,
http://www.frontnational.com/?p=4932
Le Front National demande depuis l’élection présidentielle de 2007 la fermeture, la dissolution de l’école nationale de la magistrature qui est l’école du laxisme et la mise au pas du syndicat de la magistrature lequel, ouvertement, officiellement et cyniquement, met la politique à l’intérieur de la justice.
Pourquoi ne pas, plutôt, essayer de travailler à chercher un système optimal pour le pays ?
1. On pourrait penser à instaurer – dans tous les partis – via la loi, le système de vote unique transférable. S’il peut être difficile – au départ tout au moins – de l’instaurer pour toutes les élections (nationales, locales, européennes, etc.) je pense qu’on pourrait, sérieusement, le mettre en place pour l’investiture des candidats des partis. Je pense que ce serait un système vraiment innovant, moderne, et très attrayant, pour la désignation des candidats aux élections, pour chaque parti.
Concrètement, en quoi cela consiste t il ?
Et bien, lors de la désignation des candidats aux élections – peu importe le niveau – les militants/électeurs seraient invités à classer les candidats à l’investiture du parti, par ordre de préférence sur leur bulletin de vote de la même façon que dans le vote alternatif ou préférentiel. Bien entendu, ce classement serait facultatif. Les militants/électeurs pouvant, s’ils le désirent, n’en marquer qu’un seul.
Après que le total des suffrages concernant le premier choix a été compté, le décompte commence par l’établissement du « quotient » de voix requis pour l’élection d’un seul candidat. Le quotient est calculé à l’aide d’une formule simple : Quotient = (suffrages/sièges+1) + 1
Ceci fait, on compte le nombre total de voix de premier choix pour chaque candidat. Tout candidat qui a reçu plus de voix de premier choix que le quotient est immédiatement élu. Si personne n’atteint le quotient, le candidat ayant recueilli le plus faible nombre de premiers choix est éliminé et ses voix de deuxième choix sont redistribuées aux candidats qui demeurent dans la course. En même temps, les voix de surplus des candidats déjà élus (c.-à-d. les voix qui dépassent le quotient) sont redistribuées selon les deuxièmes choix exprimés sur les bulletins de vote. Afin d’être juste, tous les bulletins de vote d’un candidat sont redistribués, mais chacun de ceux-ci ne reçoit qu’une fraction d’une voix, de sorte que le total des suffrages redistribués est égal au surplus du candidat. Ce processus continue jusqu’à ce que tous les sièges de la circonscription aient été attribués.
Les avantages de ce système sont très nombreux. Et valorisent considérablement les élus, en évitant les risques de « parachutages » ou de « servilité » à l’égard du parti ou/et de l’Exécutif.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Scrutin_%C3%A0_vote_unique_transf%C3%A9rable
Pour n’en citer que quelques uns, parmi d’autres :
• Les résultats sont hautement proportionnels, les sièges correspondant aux suffrages exprimés.
• Le vote préférentiel offre aux électeurs et électrices/militants un vaste choix de candidats et candidates.
• Étant donné que toutes les préférences sont prises en compte pour élire les candidats et candidates, aucun vote n’est « perdu ».
Il y a donc, naturellement, une meilleure représentation de la voix des militants du parti, ce qui crédibilise le parti, instaure une réelle confiance dans les élus investis – ils ne sont pas (que) le fruit d’un parachutage ou/et d’une décision « d’en haut » – et sans mettre en danger la « loyauté » de l’élu envers son parti, donne à ce dernier les moyens d’exprimer une opinion qui lui est propre, grâce à sa légitimité auprès des militants du parti.
2. On pourrait installer – pour les élections européennes et locales notamment – le scrutin à points…Ce qui diminuerait très fortement l’abstention.
Chaque électeur pourrait avoir dix points. Ces dix points il pourrait les répartir comme bon lui semble.
Si je suis un électeur UMP, et que j’adhère complètement à son programme, je donne les dix points à la liste UMP. (Liste définie selon le système évoqué plus haut)
Si je suis partagée sur les programmes, je donne disons six points à la liste UMP, trois au PS, et un au MODEM.
Si je n’adhère à aucun programme, je donne mes dix points au vote blanc.
Pour être élu, il faudrait donc que chaque candidat – bien élu dans son parti, via le vote unique transférable – obtienne la majorité absolue des points. Si tel n’est pas le cas, une alliance peut se faire entre les deux tours entre plusieurs listes.
Dans l’éventualité où le « gagnant » serait le vote blanc, tous les candidats à l’élection seraient éliminés d’office. De ce fait, les partis seraient obligés de se remuer pour éviter que les électeurs les sanctionnent. Idem pour les élus.
A cela, il faudrait rajouter le vote par panachage, c’est à dire la possibilité de rayer ou ajouter des noms sur des bulletins imprimés et celle de voter à l’aide de bulletins manuscrits sont ouverts. De cette manière, les électeurs pourraient éviter de soutenir les gens qui cumulent ou qui sont simplement médiocres sans pour autant abandonner son parti. Lors des élections européennes récentes, beaucoup de vos électeurs ne se sont pas déplacés. Pourquoi ? Parce que M. LAMASSOURE, qui travaille beaucoup et fait honneur à son mandat, était en bas de l’échelle…Quand le médiatique, mais peu bosseur, M. BAUDIS caracolait en tête de liste ! Dans le même genre d’idée, quel autre moyen que l’abstention ou le vote blanc, avait les électeurs désireux de soutenir M. BARNIER…Tout en barrant la route à Mme DATI ? Avec ce panachage, les choses auraient été bien meilleures !
3. Pour les élections législatives et présidentielles, des efforts sont à réaliser.
En ce qui concerne l’élection présidentielle, je pense qu’il serait bien de supprimer la stupide loi concernant les « signatures ». Les citoyens ne sont pas des bébés. Ils savent parfaitement faire le tri entre les candidats…Sans qu’il soit besoin que les maires et autres viennent faire un « filtre » préalable, qui a d’ailleurs peu à voir avec le souci du bien commun.
Si « filtre » il doit y avoir, cela doit concerner toutes les élections et ce filtre ne saurait être légitime que s’il se base sur des critères objectifs et incontestables, à savoir :
-la capacité du candidat à exercer le mandat pour lequel il postule : s’il est atteint d’une maladie plus ou moins grave, qui peut avoir un effet dévastateur sur la conduite des affaires, il vaut mieux qu’il ne se présente pas, n’est ce pas ?
-les compétences du candidat : en gros, savoir lire, écrire, compter, parler français à la perfection, connaître l’histoire du territoire qu’on souhaite administrer, connaître la Constitution française, savoir par cœur les dix sept articles de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen.
-les vertus du candidat : droiture (pas de casier judiciaire), honneur (a servi le pays), courage (a montré lors de son existence sa capacité à se dépasser), civisme (galanterie à l’égard des dames, respect envers toutes les croyances, respect des lois du pays), sens de l’État (souci véritable de la France, connaissance de la France, désir réel de servir le pays), sociabilité (sait s’intégrer dans un groupe, a le contact facile), capacité à s’engager (s’est uni devant les Hommes, a engendré/donné la vie), loyauté (est fidèle à son épouse, montre une véritable sollicitude à l’égard du pays), sagesse (sait garder son sang froid en toute circonstance, privilégie la réflexion à l’impulsion, sait bien s’entourer), etc.
Les législatives pourraient aussi prendre un « coup de jeune ». Parce qu’il est évident que le système « majoritaire » exclu de fait une grande partie des électeurs ! Lesquels ne sont donc pas représentés !
Pour y mettre fin – tout en gardant des « majorités » – on pourrait donc penser à instaurer un système plus…Démocratique.
Les électeurs pourraient, en effet, être invités à voter de la manière suivante :
En se rendant au bureau de vote, il leur serait proposer de prendre :
-soit un bulletin comportant aussi bien le nom d’un parti que celui des candidats. En utilisant un tel bulletin, l’électeur peut procéder à un vote préférentiel.
-soit un bulletin comportant le nom d’un parti mais pas de candidats. Ainsi, si l’électeur veut voter plus particulièrement pour un parti, il peut le faire.
-soit un bulletin sans nom de parti ni de candidat. Là, l’électeur rempli lui même son bulletin, notamment s’il n’existe pas de bulletin de vote au nom du parti pour lequel il désire voter.
Un tel système aurait un avantage précieux pour les partis…Et les candidats : mesurer leur « influence » auprès des électeurs. Si les électeurs de la circonscription x votent en fonction d’un candidat plus qu’en fonction d’un parti, le nouvel élu trouvera une légitimité intégrale et aura les coudées franches dans son mandat. Si c’est le parti qui fait de bons scores, plus que le candidat, ce dernier pourra réfléchir à comment gagner le cœur de ses administrés pour recouvrer un peu de liberté envers le parti. Pour l’électeur, l’avantage est double : il peut choisir de sanctionner le candidat sans porter préjudice au parti, il peut faire le choix de manifester son contentement envers le candidat en sanctionnant le parti.
Pour un candidat, c’est aussi une bonne manière de savoir ce qui a pu « clocher » dans une élection. Et le cas échéant, de s’en sortir sans trop de frais, s’il s’avère que la sanction s’abat plus sur le parti ou le Gouvernement que sur lui. Concrètement, le « vote sanction » souvent brandit par le PS serait amoindri, puisque les électeurs pourraient sanctionner le parti tout en manifestant leur confiance envers leur candidat ou inversement récompenser le parti et sanctionner l’élu qui ne respecte pas ses promesses électorales ou est très régulièrement absent à l’Assemblée.
Appel de l’interSyndicale de Radio France à une manifestation le 1er juillet à 18h devant la Maison de la Radio à Paris pour le soutien de S.Guillon et de D.Porte – récemment licenciés de France Inter par les marionnettes sarkozistes Val et Hees – et contre la mainmise du pouvoir sarkoziste sur les antennes du service publique.
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Nota : dans ce contexte politique/médias/sarkozie, il est à noter que les tentatives de manoeuvre pour conditionner l’avenir du Journal Le Monde viennent manifestement d’échouer : en dépit des convocations de M.Fottorino à l’Elysée à des fin de “dissuations élyséennes”, le trio Bergé-Pigasse-Niel l’emporte au conseil de surveillance du Monde. Le repreneur potentiel Orange (dont l’actionnaire majoritaire est l’Etat, donc Sarko) l’a dans l’os. Le Monde ne tombera donc pas (en tous cas pas dans l’immédiat) dans l’escarcelle des médias marionnettisés par l’Elysée (Radio-France, FranceTV, le Bigaro et tous ses satellites, TF1 (“TV-Sarko”, la lucarne à blaireau, etc.).
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Par ailleurs, une page Facebook a été ouverte et recueille des messages de soutien à Porte et Guillon. Des pétitions circulent également sur la toile en soutien aux deux hommes.
Voir un peu partout sur le web, :
– http://minilien.fr/a0l8ow
– http://minilien.fr/a0l8ox
– http://minilien.fr/a0l8pb
RV ce jeudi à 18h devant Radio-France, donc.
Olive M
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Message mis en ligne via http://minilien.fr/a0l8sb
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COPIE : le comique “Collectif des parlementaires pour la liberté d’expression” érigé récemment par ces messieurs beaux-parleurs de l’UMP
@M.Moore, marre des gochos comme vous , nous sommes pour la liberté d’expression, point final et se que Zemmour a dit c’est la realité, et je suis d’accors avec Philippe!
Je viens par hasard sur ce site suite à “l’affaire Zemmour.
Je retiens surtout l’objet de ce comité précisé par M. Luca. “M. Luca a déclaré à l’AFP que le collectif entend notamment dénoncer “le pouvoir des juges et des associations”.
Monsieur Lucas, selon notre Constitution, la justice devrait être indépendante. Il est stupéfiant de voir un élu du peuple s’en prendre à la justice qui ne fait qu’appliquer les lois votées et promulguées.
Notre pays est devenu un pays totalitaire ou la liberté d’expression n’existe plus. C’est totalement insupportable ! Allez jusqu’au bout, et redonnez son vrai sens au mot liberté, SVP !
@ mh63:
” Il est stupéfiant de voir un élu du peuple s’en prendre à la justice qui ne fait qu’appliquer les lois votées et promulguées. ”
Eric Zemmour a été condamné sur le fondement d’une loi rendant des opinions délictueuses or, Eric Zemmour a seulement énoncé un fait.