Christian peux tu sous- titrer cette vidéo ? Car moi je n’ai plus 20 ans : je ne suis pas du tout croulante mais j’ai un problème d’ouïe .Merci d’avance . Rita
Actuellement ce mépris des élites pour le peuple atteint son paroxysme avec Macron. Pour lui la plupart des gens ne son “rien”. Qu’ils célèbrent Johnny Hallyday, leur “héros” et laissent les gens sérieux gouverner. Voilà la ligne de Macron.
Je suis d’accord avec votre intervention sur l’identité nationale, et j’espère que la droite pourra s’orienter dans ce sens.
Beaucoup de Français pourraient sans doute être d’accord, mais il semble qu’il y a une forte fragmentation dans les partis de droite pouvant défendre ce type de point de vue, et d’autre part ce point de vue n’est pas relayé par le discours dominant des médias de droite.
Les médias de gauche imposent donc le point de vue repentant, sans qu’il y ait de contre discours aussi étoffé à droite.
Pour prendre un exemple concret, l’affaire des crânes évoquée par Macron en Algérie a été bien préparée, comme d’habitude : pétition en 2011 (c’est à dire 2012 moins 1) ; tribune dans le Monde en 2016 (c’est à dire 2017 moins 1) ; et foultitude de reportages depuis.
Il aurait sans doute été possible de désamorcer cette affaire symbolique en amont, mais le discours de droite semble hélas presque exclusivement préoccupé par la nécessité supposée de pourfendre la dépense publique ; si bien que c’est le point de vue repentant qui finit par s’imposer, malgré les interventions ponctuelles de quelques intervenants courageux mais isolés.
Or, le discours de droite sur la dépense publique n’est au fond pas très convaincant (par exemple, sur le slogan des 57% : d’une part, il y a une différence de périmètre avec d’autres pays, cf http://www.xerficanal-economie.com/emission/Olivier-Passet-L-Etat-obese-les-vrais-gisements-d-economies_3745291.html ; d’autre part, il y a une différence de démographie, qui pèse sur les dépenses d’éducation etc sans être compensée par des dépenses de retraite plus faibles que dans d’autres pays).
Sur les questions économiques, je suis plus préoccupé par la perte de contrôle sur les grands groupes, suite aux réformes libérales précédentes, et par ses conséquences, que par la dette.
Il me semble enfin que la droite aurait bien assez à faire, si elle revenait au pouvoir, avec les questions proprement politiques comme l’identité nationale, l’énergie, le rapport à l’UE ou la remise à niveau des programmes scolaires, plutôt qu’avec des réformes économiques au fond non réellement nécessaires (car son discours actuel est trop libéral pour qu’elle soit élue d’une part, qu’elle reste au pouvoir de l’autre). Ne ferait-elle donc pas mieux de changer de priorités ?
La prétendue droite française a toujours eu peur de son ombre. Timorée sur les réformes économiques nécessaires, elle se réfugie sur ces questions maintenant qu’elle est dans l’opposition et tremble à l’idée d’être accusée d’extrémisme dès lors qu’elle aborde les questions dites « sociétales ». Elle a laissé les questions d’identité nationale au FN, préférant le fuir comme le diable, et maintenant elle en est au même point sur la famille, avec Sens Commun. Couardise et vide intellectuel sont ses marques les plus constantes.
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6 commentaires
Christian peux tu sous- titrer cette vidéo ? Car moi je n’ai plus 20 ans : je ne suis pas du tout croulante mais j’ai un problème d’ouïe .Merci d’avance . Rita
Hélas, je n’en suis pas techniquement capable. Désolé.
Dommage que les “élites” (média, et beaucoup trop d’hommes politiques), continuent à mépriser la Nation et le Peuple de France
Actuellement ce mépris des élites pour le peuple atteint son paroxysme avec Macron. Pour lui la plupart des gens ne son “rien”. Qu’ils célèbrent Johnny Hallyday, leur “héros” et laissent les gens sérieux gouverner. Voilà la ligne de Macron.
Je suis d’accord avec votre intervention sur l’identité nationale, et j’espère que la droite pourra s’orienter dans ce sens.
Beaucoup de Français pourraient sans doute être d’accord, mais il semble qu’il y a une forte fragmentation dans les partis de droite pouvant défendre ce type de point de vue, et d’autre part ce point de vue n’est pas relayé par le discours dominant des médias de droite.
Les médias de gauche imposent donc le point de vue repentant, sans qu’il y ait de contre discours aussi étoffé à droite.
Pour prendre un exemple concret, l’affaire des crânes évoquée par Macron en Algérie a été bien préparée, comme d’habitude : pétition en 2011 (c’est à dire 2012 moins 1) ; tribune dans le Monde en 2016 (c’est à dire 2017 moins 1) ; et foultitude de reportages depuis.
Il aurait sans doute été possible de désamorcer cette affaire symbolique en amont, mais le discours de droite semble hélas presque exclusivement préoccupé par la nécessité supposée de pourfendre la dépense publique ; si bien que c’est le point de vue repentant qui finit par s’imposer, malgré les interventions ponctuelles de quelques intervenants courageux mais isolés.
Or, le discours de droite sur la dépense publique n’est au fond pas très convaincant (par exemple, sur le slogan des 57% : d’une part, il y a une différence de périmètre avec d’autres pays, cf http://www.xerficanal-economie.com/emission/Olivier-Passet-L-Etat-obese-les-vrais-gisements-d-economies_3745291.html ; d’autre part, il y a une différence de démographie, qui pèse sur les dépenses d’éducation etc sans être compensée par des dépenses de retraite plus faibles que dans d’autres pays).
Sur les questions économiques, je suis plus préoccupé par la perte de contrôle sur les grands groupes, suite aux réformes libérales précédentes, et par ses conséquences, que par la dette.
Il me semble enfin que la droite aurait bien assez à faire, si elle revenait au pouvoir, avec les questions proprement politiques comme l’identité nationale, l’énergie, le rapport à l’UE ou la remise à niveau des programmes scolaires, plutôt qu’avec des réformes économiques au fond non réellement nécessaires (car son discours actuel est trop libéral pour qu’elle soit élue d’une part, qu’elle reste au pouvoir de l’autre). Ne ferait-elle donc pas mieux de changer de priorités ?
Sur ce, bonne continuation.
La prétendue droite française a toujours eu peur de son ombre. Timorée sur les réformes économiques nécessaires, elle se réfugie sur ces questions maintenant qu’elle est dans l’opposition et tremble à l’idée d’être accusée d’extrémisme dès lors qu’elle aborde les questions dites « sociétales ». Elle a laissé les questions d’identité nationale au FN, préférant le fuir comme le diable, et maintenant elle en est au même point sur la famille, avec Sens Commun. Couardise et vide intellectuel sont ses marques les plus constantes.