Il était touchant, hier, Copé. Il tendait la sébile, l’oeil larmoyant devant l’injustice et la voix tremblante de celui qui, pour la France, pour tous les Français, ne veut pas que la voix de l’UMP s’éteigne. Déjà, la sienne n’était plus qu’un filet. Sans doute une vieille lueur vacillante de gaullisme éclairait-elle chez lui la […]