Pauvre Christophe Barbier, chantre docile de la Macronie, obligé de minimiser les dérapages de l’autre Christophe, Castaner, qui, une fois encore, englue le pouvoir que subit la France dans les contradictions qui constituent sa réalité profonde. Barbier regrette que Castaner ait parlé trop vite. Il le déplore surtout parce que, selon lui, la polémique masque […]