Le parallèle entre les attentats au Sri Lanka et celui de Christchurch en Nouvelle-Zélande se traduit par la phraséologie politiquement correcte qui consiste à noyer le poisson dans une dénonciation globale de la violence et du terrorisme, comme s’ils étaient des réalités en soi, des causes efficientes qu’il s’agirait de combattre en tant que telles. […]